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la Respiration  Humaine rythme la performance

 

Les entreprises, soumises à des contraintes de marché et de souveraineté,  génèrent des changements ou des ruptures, sources de malentendus voire de souffrances humaines. Après des décénnies où il était entendu que l'humain était au service de l'économie, le modèle est remis en question.  La souffrance au travail rejetée par notre société, est entendue par le législateur. 

Les entreprises et institutions sont de plus en plus interpellées sur le sens donné à l'économique pour le bien commun et la vie.

L'ignorer revient à se mettre la tête dans le sable, et à générer des coûts considérables : absentéismeprésentéismecontraintes managériales paradoxales sources de conflits et souffrances contre performantsstratégie utopique par déficit de prise en compte systémiqueperte de confiance et de talents, ...

 

La prise en compte du bien-être et de la sécurité au travail est reconnue comme facteur de motivation des collaborateurs et d'amélioration des relations et du climat social des entreprises. Si elle se décline par la mesure d'indicateurs identifiés et la mise en place d'améliorations, la dimension corporelle, hors champ médical et sportif  est peu citée.

 

Les bienfaits des approches associant le corps et l'esprit sont reconnus, un nouvel art de vivre émerge en France. Massage, sophrologie, réflexologie, relaxation, méditation sont présents dans les centres de soins et de plus en plus dans nos vies privées. Les rares entreprises inscrites dans ce mouvement, rendent ces approches accessibles à tous.

 

La gestion des risques psychosociaux  ne peut faire l'économie du stress des dirigeants et du management  qui retentit sur  l'ensemble des collaborateurs. Parce que la performance est inévitablement collective, les modèles individualistes tendent à s'écrouler.

 

Ainsi l'entreprise se retrouve dans le paradoxe d'évoluer dans une complexité génératrice de souffrances et de se préoccuper du bien-être au travail, essentiel à la performance. Reconnaître et considérer ces souffrances c'est faire un pas vers le mieux-être et la motivation, dans une anthropologie plus proche de notre nature d'être humain. 

 

 

                                 Le mot du jour

"Les hommes perdent la santé pour accumuler de l'argent, ensuite ils dépensent de l'argent pour retrouver la santé. A penser anxieusement au futur, ils oublient le présent, si bien qu'ils ne vivent ni le présent, ni le futur. Ils vivent comme s'ils n'allaient jamais mourir ... et meurent comme s'ils n'avaient jamais vécu. C'est ce qui me surprend le plus dans l'humanité."

                                   Sa Sté le XIVème Dalaï Lama 

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